Friday 22 May 2009

cerrado por vacaciones

volveremos con renovadas energias pronto

Thursday 21 May 2009

Tu sais que tu as vecu en Afrique quand...

- tu trouves qu'il fait froid dès que le thermomètre descend en dessous de 25°C .
- tu ne t'arrêtes plus au stop et tu as oublié ce qu'était un clignotant
- tu bois de la bière comme d'autres boivent du café
- tu trouves normal que quelqu'un te porte tes courses jusqu'à ta voiture
- tu ne t'étonnes plus du nombre de chèvres cochons chiens qui traversent la route
- tu essayes de tout négocier, même le prix du vin au resto
- tu as peur de te faire marabouter
- tu possèdes 3 portables, un par réseau GSM
- tu commences à sortir ton portefeuille dès que tu vois une voiture de flics
- tu fais la sieste tous les jours - tu appelles les serveurs en faisant « pssst »
- tu salues quelqu'un en lui disant « on dit quoi ? c'est comment ? »
- tu connais la chorégraphie du dernier tube de coupé décalé (saute-mouton, petit vélo)
- tu achètes tes chaussures dans la rue
- tu mets du piment partout
- tu fais grigri pour qu'il ne pleuve pas le jour de ton barbecue/soirée
- tu dis « hahaaaan » pour montrer que tu as compris
- tu ne mets plus que des tongs en plastique
- tu fantasmes sur un morceau de fromage ou une tranche de saucisson
- tu ne réagis plus quand le policier t'amendes pour « non possession du triangle » dans la voiture et non parce que vous êtes 10 dans une voiture 5 places
- tu réponds « C'est ça ! » pour montrer que tu es foncièrement intéressé par ce que les gens te disent (et non plus pour leur faire comprendre : «tu me saoules ! »)
- tu marches pieds nus dès que tu peux
- tout le monde est ton cousin ou ta cousine
- tes expressions sont : "quitte là", "y a quoi?!", "oh la la"
- quand tu as vécu un rapatriement, un coup d'état, ou une pénurie de Nutella dans les supermarchés! Et que pour toi, la différence entre ces événement est nulle...
- ta chaîne hifi, ta télé et tous les autres appareils électriques ont sauté à cause d'une coupure d'électricité...
- tu sais allumer un groupe électrogène
- quand il pleut, tu cours sous la pluie en criant car oui il faisait chaud et que oui ça fait du bien.
- quand tu te baignes dans une piscine à 30 degrés.
- quand tu vois un lézard, tu dis "ouais ben t'as pas vu un margouillat"
- quand tu te dis que les grillons ont envahi ta chambre tellement ça t'empêche de dormir.
- quand tu te lèves le matin pour aller travailler et qu'il fait jour à cette heure toute l'année.
- Quand tu crie dans ta salle de bain car t'as mis l'eau froide mais qu'elle est bouillante à cause des tuyaux exposés au soleil.
- quand tu vois une grosse bête, tu ne cries pas mais deviens warrior et tu la pulvérises d'un coup de claquette !
- Quand tu tapes la discute avec le chauffeur de taxi, la caissière au supermarché, le gars assis sur un banc à côté, etc...
- quand tu as déjà pris un taxi où on voit la route à travers le 'plancher'
- quand tu es déjà rentré à 9 dans un taxi
- quand tu as plus tendance à t'étonner quand une mobylette s'arrête au feu rouge (quand il y en a!) que quand elle le grille
- quand tu divises au minimum le prix par deux quand tu veux acheter quelque chose
- quand en descendant de l'avion tu sens la chaleur étouffante te prendre, et tu te dis que y a rien à faire, l'Afrique t'as manqué !
- quand le taximan te fais visiter toute la ville à la recherche de clients alors que tu devais te rendre à 5 minutes de chez toi
-quand tu trouves pas ça bizarre du tout que le coq chante a midi
- quand tu marches pour aller chez les voisins ou un peu plus loin et qu'arrivé là-bas tu as les pieds couverts de poussière ....
- Quand tu dois arrêter ta bagnole parce qu'un troupeau de vaches ou moutons ou chèvres traverse la route en pleine ville
- Quand tu as déjà mis des pulls à 20°
- Quand tu t'es déjà plaint d'avoir une piscine trop chaude
- Quand t'as au moins 3 potes qui viennent manger chez toi chaque jour....

Wednesday 20 May 2009

The ultimate measure of a man

The ultimate measure of a man is not where he stands in moments of comfort, but where he stands at times of challenge and controversy.

Martin Luther King, Jr.

Me gusta la gente

Me gusta la gente que vibra, que no hay que empujarla, que no hay que decirle que haga las cosas, sino que sabe lo que hay que hacer y que lo hace. La gente que cultiva sus sueños hasta que esos sueños se apoderan de su propia realidad.

Me gusta la gente con capacidad para asumir las consecuencias de sus acciones, la gente que arriesga lo cierto por lo incierto para ir detrás de un sueño, quien se permite, huir de los consejos sensatos dejando las soluciones en manos de nuestro padre Dios.

Me gusta la gente que es justa con su gente y consigo misma, la gente que agradece el nuevo día, las cosas buenas que existen en su vida, que vive cada hora con buen ánimo dando lo mejor de si, agradecido de estar vivo, de poder regalar sonrisas, de ofrecer sus manos y ayudar generosamente sin esperar nada a cambio.

Me gusta la gente capaz de criticarme constructivamente y de frente, pero sin lastimarme ni herirme. La gente que tiene tacto.
Me gusta la gente que posee sentido de la justicia. A éstos los llamo mis amigos.

Me gusta la gente que sabe la importancia de la alegría y la predica. La gente que mediante bromas nos enseña a concebir la vida con humor. La gente que nunca deja de ser aniñada.
Me gusta la gente que con su energía contagia.

Me gusta la gente sincera y franca, capaz de oponerse con argumentos razonables a las decisiones de cualquiera.
Me gusta la gente fiel y persistente, que no desfallece cuando de alcanzar objetivos e ideas se trata.

Me gusta la gente de criterio, la que no se avergüenza en reconocer que se equivocó o que no sabe algo. La gente que, al aceptar sus errores, se esfuerza genuinamente por no volver a cometerlos. La gente que lucha contra adversidades.
Me gusta la gente que busca soluciones.

Me gusta la gente que piensa y medita internamente. La gente que valora a sus semejantes no por un estereotipo social ni como lucen. La gente que no juzga ni deja que otros juzguen.
Me gusta la gente que tiene personalidad.

Me gusta la gente capaz de entender que el mayor error del ser humano es intentar sacarse de la cabeza aquello que no sale del corazón.

Friday 15 May 2009

la poetisa Nobel

Hace poco tiempo, sucedio, en el contexto de una region, un hecho que marcaba una diferencia con los ultimos 40 anhos, y que muchos calificaron de historico. Independientemente del parecer de un@s, aquel momento y el discurso pronunciado, fue una oportunidad para celebrar la poesia, de una mujer Nobel, que yo, debo admitir, no tenia el placer de conocer.

Wislawa Szymborska, la poeta polaca que ganó el Premio Nobel hace ya bastantes años y que sigue siendo una muy inmerecida gran poeta desconocida.

"Nada dos veces"

"Nada sucede dos veces
ni sucederá, y por eso
sin experiencia nacemos
sin rutina moriremos.
En esta escuela del mundo
ni siendo malos alumnos
repetiremos un año,
un invierno, un verano.
No es el mismo ningún día,
no hay dos noches parecidas,
igual mirada en los ojos,
dos besos que se repitan.
Ayer mientras que tu nombre
en voz alta pronunciaban
sentí como si una rosa
cayera por la ventana.
Ahora que estamos juntos,
vuelvo la cara hacia el muro.
¿La rosa? ¿Cómo es la rosa?
¿Cómo una flor o una piedra?
Dime por qué, mala hora,
con miedo inútil te mezclas.
Eres y por eso pasas.
Pasas, por eso eres bella.
Medio abrazados, sonrientes,
buscaremos la cordura,
aunque somos diferentes
cual dos gotas de agua pura."

Friday 8 May 2009

facts

burundians are patient for everything
one could even say borderline passive
until they get in front of a car wheel
to make things worse
i am becoming like one of them!

this week

started with a 10 hour meeting on finances and procedures, useful, but...... not my cup of tea
it followed by two days of too much work and too little time, some IT difficulties, some frustrating telephone conversations, and a reinforced feeling of needing a break

on the other hand,

after years of lobbying, 5 to be precise, somebody far away finally got connected to skype and by a good coincidence a chat between burundi, mexico and spain happened, wallahi!

an unemployed friend shared frustrations and challenges with the optimism that characterises the person, and gave some perspective to my past and present situations; it is always interesting to compare how one reacted, how someone else does so, and to learn from the positivity some people manage to emanate

another friend did a test that came up with 'you have a natural tendency to surround yourself by positive people'...and it makes you think, not only the people that make your life, but yourself as well, how could you change towards having a more positive attitude, not just on the good times, but also on the bad

the locals here, when asked 'how are you' always answer 'a little'; going a bit local, i started answering the same way, until someone said to me this week 'oh, if bazungus (white people) start saying 'a little' then i need to worry!', and blimey he had a point! we have jobs, money, great houses, access to everything we want (ish)...... answering 'a little', i hadn't realised that the mentality behind was creeping on me, like a mental state that starts becoming a permanent attire

it makes me think of yet another friend who with a swiss determination decides that tomorrow she will get up in a good mood and with a smile

despite this morning grey mood, and a rather challenging meeting this morning (patience, god, give me patience) a little turn must happen, i must remember this week, in its entirety, the good and the bad, what i need to learn and remember, what i need to practice, tending towards positivity, the way forward, the way i want to go

i should take note and learn from my 'teachers' this week
i shall do a positive analysis exercise this weekend, to enjoy and celebrate what i have!
i remember it also being a new year resolution shared with my sister
must remember, must practice

Sunday 3 May 2009

Burundi tourism

after much deliberation and dilemma, i decided to spend the long weekend doing tourism in Burundi, out of the charming capital and into the deep rural areas

much of the weekend was spent driving, with the necessary 4x4 given the state of the roads (some of them wouldn't amount to that)

the horrors of some fool traditions....


(the man on the left, in black was actually carrying an alive chicken which kept moving, in horror i suppose)
were compensated by the beauty of the scenery


and the rewarding picnic we had were burundi mountains meet tanzania's plains...